Les mondes des services secrets (en France : DGSE et DGSI) et des sociétés secrètes se compénètrent. Tout ce petit monde fait son mic-mac pour son bénéfice propre ou pour des intérêts « supérieurs », qui ne coïncident généralement pas avec ceux de la France et de la Chrétienté, c’est un euphémisme…
Par d’heureuses coïncidences et par la force des choses, une enquête a été poussée jusque dans des zones « embarrassantes », et une anecdote intéressante a filtré dans la presse.
En juillet 2020, une femme, « coach » sportive, échappait de peu, et par chance, à une tentative de meurtre. Les deux hommes armés arrêtés se révélaient membres de la DGSE (services secrets français agissant principal à l’extérieur) et ont clamé, pour se défendre, agir sur ordre de leur organisation, ce que cette dernière a démenti, expliquant qu’ils n’étaient pas dans le service « action ». Il y a eu du nouveau en janvier 2021 : plusieurs personnes ont été arrêtées, dont le commanditaire présumé. Et tout ce petit monde (y compris un ancien de la DGSI : service d’espionnage des Français) s’est retrouvé et a contracté son marché infernal… dans une loge maçonnique.
« […] J-L A-B, 64 ans, serait le « commanditaire » du projet de meurtre de Marie-Hélène Dini en juillet dernier. Le mobile ? Une rivalité dans l’univers du coaching. […] J-L A-B, dont la société est basée à Vélizy, aurait pris ombrage de ces démarches avant de recruter et financer, pour un total de l’ordre de 50 000 euros, une équipe de tueurs à gages…
L’affaire sent le soufre, puisqu’elle mêle d’anciens des services secrets français, la DGSE, la DGSI, et se serait nouée au sein d’une loge maçonnique de Puteaux (Hauts-de-Seine). C’est au sein de cette loge, comme l’aurait reconnu un des participants, que le « commanditaire » aurait orchestré l’opération. Selon nos informations, deux autres « maçons » de la loge en question ont été placés en garde à vue la semaine dernière. […]
[…] Les policiers sont intrigués par un nom, qu’ils ont déjà vu, celui d‘un ancien commandant de la DGSI, le commandant B. Le fonctionnaire a quitté le service de contre-espionnage voilà une dizaine d’années […]
Le commandant B, membre d’une loge maçonnique des Hauts-de-Seine, met les enquêteurs sur la piste de deux autres « frères » maçons, W et P. Ces deux derniers sont placés en garde à vue à leur tour la semaine dernière. Puis un 4e « maçon » de la même loge est mis en cause : J-L A-B, désigné carrément comme le commanditaire de l’assassinat. Fait troublant, plusieurs membres de son entourage ont été la cible ces derniers mois d’évènements suspects: un incendie pour l’un, des pneus de voiture crevés pour l’autre…[…] Selon nos informations, l’enquête pourrait aussi s’étendre à d’autres faits nouveaux. La police est convaincue qu’un des membres de cette équipe de barbouzes aurait dans le passé procédé à une « élimination physique ». Un corps aurait été « enterré en forêt » il y a deux ou trois ans a confié un des membres de l’équipe… » (source et article complet ici)
Mise-à-jour du 3 février :
le franc-maçon et ancien commandant du Renseignement intérieur a avoué l’assassinat d’un homme par ce même groupe pour une dette d’argent :