Justice : l’anesthésiste accusé d’être un tueur en série a bénéficié de collusions maçonniques

Rappel de l’affaire :

« L’anesthésiste est soupçonné d’avoir pollué, entre 2008 et 2017, des poches de perfusion de 24 patients âgés de 4 à 80 ans pour provoquer des arrêts cardiaques pour ensuite tenter de les sauver.  […] L’anesthésiste est soupçonné d’avoir pollué, entre 2008 et 2017, des poches de perfusion de 24 patients âgés de 4 à 80 ans pour provoquer des arrêts cardiaques, démontrer ses talents de réanimateur et discréditer ses collègues d’une clinique de Besançon avec lesquels il était en conflit. Pour le procureur de la République de Besançon, il est « le dénominateur commun » de tous ces « événements indésirables graves », comme les désigne le jargon médical. Parmi ses victimes présumées, certaines, restées plusieurs jours dans le coma après avoir subi des arrêts cardiaques à l’occasion d’opérations qui ne présentaient pas de difficultés particulières, en portent encore les séquelles. » (source)

Le journaliste Aziz Zemouri, qui a accédé au dossier de police, révèle la connivence maçonnique avérée entre les avocats de Péchier et le président de la chambre d’instruction concernée par son cas…

Le monde de la justice française est totalement infesté par la franc-maçonnerie – nous espérons que vous êtes au courant : il y a donc une justice à deux vitesses : une pour les « frères » et une pour les « profanes »

Réforme des institutions : les franc-maçons encore « à la manœuvre »

Les franc-maçons encore à la manoeuvre
Christophe-André Frassa a été élu président de la «Fraternelle parlementaire» en octobre dernier.

La « réforme des institutions », qui sera au menu du Conseil des ministres d’ici à la fin du mois, est examinée de près par la franc-maçonnerie comme le relate ouvertement Le Parisien. Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, selon le quotidien quelques 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.

« Christophe-André Frassa, le président de la « Fraternelle parlementaire », membre du GODF, sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l’étranger, appartient au parti des Républicains. Mais au sein de la fraternelle, la notion de parti n’a pas vraiment de sens… Il explique :

« La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie ».

Sic. A propos de la séparation effective des pouvoirs, il sera opportun que la République se sépare de la franc-maçonnerie. Mais il est vrai que ce serait dissoudre de fait cette République…

Dans quelques mois, les francs-maçons du Parlement se pencheront aussi sur les lois de bioéthique. Lois qu’ils ont préparé dans le secret des loges. »

Source LSB

BHL : « les francs-maçons c’est un peu l’âme de la République »

A l’occasion des légères dégradations subies par un temple de la secte maçonnique à Tarbes, l’influent Bernard-Henri Lévy ne contient pas son émotion (ce n’est pas comme si plusieurs églises étaient profanées chaque semaine…).

Il tient au passage un propos qui, s’il était tenu par un nationaliste, serait qualifié de « complotiste » :

Comme lorsque François Hollande disait que « si l’on croit dans la République, il faut passer par la franc-maçonnerie ! »

Finalement tout le monde est d’accord avec les « complotistes » !

Une secte occultiste essaie de subvertir la droite nationale avec ses… Brigandes

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« Les Brigandes », un groupe de jeunes filles maniant la guitare et abordant des thèmes politiquement incorrects : il n’en fallait pas plus pour susciter l’engouement soudain de toute une mouvance, naïve et peu regardante.
Mais petit à petit un certain malaise se dessinait autour de ce groupe aux allures parfois « éthérées » : une haine farouche et aberrante envers les Jésuites, considérés comme le sommet d’un « complot illuminati » depuis leur fondation… Et plus récemment, une émission où elles s’attelaient à expliquer qu’il y avait une « bonne » franc-maçonnerie, en se basant sur l’interview d’un… franc-maçon…
Cela commençait à sentir le souffre. Et l’on apprend maintenant, par un article explosif dans le numéro de Rivarol paraissant ce jeudi, que les Brigandes sont l’émanation d’une secte ouvertement gnostique, antichrétienne, totalement illuminée, aux ordres d’un gourou délirant de 68 ans, Joël Labruyère, sous la coupe duquel une petite « communauté » vit entassée, de façon particulièrement glauque…

Quelques recherches sur internet corroborent facilement les témoignages recueillis, et l’on ne peut qu’être horrifié en repensant aux déguisements de chouannes, pour des malheureuses qui haïssent l’Eglise et méprisent les catholiques.
abraxasAinsi dans l’ours de la revue occultiste Abraxas (sous-titrée « gnose, ésotérisme, sciences initiatiques… »), on retrouve Joël Labruyère ainsi que la meneuse des Brigandes, Marianne.

abraxas-ours

Ci-dessous le dossier accablant de Rivarol, qui a recueilli divers témoignages de rescapés de la secte.

« Quelle est cette secte qui se cache derrière les Brigandes ?

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Les révélations d’un ancien Grand Maître de la franc-maçonnerie

« Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le dire. C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé d’une soixantaine d’années. Il a passé 24 ans au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre J’ai frappé à la porte du Temple (Éd. Pierre Téqui, commandable ici), sous-titré « Parcours d’un franc-maçon en crise spirituelle » est le témoignage passionnant des années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir. Le processus de son retour à la foi a été long et semé d’embuches.

Pour quelle raison êtes-vous entré dans la franc-maçonnerie?
Serge Abad-Gallardo : J’avais l’âge et la situation sociale idéales pour être franc-maçon : à 33 ans, j’étais haut-fonctionnaire municipal, en tant que directeur de l’urbanisme. À cette époque, je m’étais éloigné de l’Église et ma foi était bien tiède. Un ami que je ne savais pas franc-maçon m’a proposé d’y entrer. J’étais curieux de découvrir les prétendus secrets de cette organisation.

Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ?
S.A.-G. :
Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m’ont fait reconnaître des liens entre la franc-maçonnerie et l’Église. À titre d’exemple, dans le rituel d’initiation on retrouve des phrases comme : « Cherchez et vous trouverez » ou « Frappez, et l’on vous ouvrira » qui sont extraites des Évangiles. Mais, petit à petit, je me suis rendu compte que le sens que l’on donnait à ces versets n’avait plus rien à voir avec l’esprit du Nouveau Testament. J’ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m’a pas plu, mais je me suis adapté car  j’étais éloigné de la foi, et surtout de l’Église. En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j’ai pris conscience que derrière cette apparence de fraternité, les petits arrangements et les luttes pour le pouvoir étaient bien réels. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j’ai compris  que le catholicisme et la franc-maçonnerie étaient incompatibles.

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Plus de 6000 documents de la Grande Loge de France dévoilés

Afficher l'image d'origineIl y a peu, suite semble-t-il à un piratage, des milliers de documents de la Grande Loge de France (une des principales obédiences françaises de la secte maçonnique) ont été mis à disposition du public (sur ce site) : rapports du conseil fédéral, ebooks, rituels, listing d’une partie des membres, projets, calendriers, compte-rendus du conseil, etc.
Une énorme fuite de documents qui va sûrement révéler des informations que les « Frères » auraient voulu garder secrètes !
A suivre.

PS : suite à des interrogations, le Centre d’étude et d’action sur la F-M précise qu’il n’a rien à voir dans cette fuite de documents.

Un colloque officiellement organisé par la franc-maçonnerie sous le patronage du Ministère de l’Éducation nationale

« Pour son colloque sur la jeunesse qui aura lieu le 2 avril au Palais Brongniard à Paris, la Grande Loge de France pourra compter sur une invitée de marque. La ministre de l’éducation nationale a fait savoir il y a déjà plusieurs mois qu’elle y participerait : « Vous pouvez compter sur mon soutien et mon parrainage pour votre colloque avec la GLFF (ndlr : grande loge féminine de France) », avait-elle déclaré le 26 septembre 2015 lors du cinquième dîner de cette obédience maçonnique. » (source La Croix)

Lors de ce dîner, Najat Vallaud-Belkacem s’était par ailleurs dite consciente de « ce que la République et l’école doivent à la franc-maçonnerie depuis deux siècles ».

Sur l’affiche officielle de cet événement, il est indiqué que celui-ci a lieu « sous le haut patronage du ministère de l’Education nationale », et son logo y figure officiellement.

Chute du patron de la PJ parisienne : on reparle de franc-maçonnerie

Vu en février 2015 dans le Nouvel Observateur :
« Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.

Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »

Il avait débuté sa carrière comme inspecteur, et avait gravi les échelons (grâce au copinage maçonnique?), devenant notamment en 2007 « le patron de la Division des relations internationale (DRI) de la police nationale, la nouvelle dénomination du SCTIP, le Service de coopération technique international de la police, une responsabilité traditionnellement attribué à un haut gradé franc-maçon. » [sic]

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