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Un historien allemand, le Dr Michael Hesemann, a exhumé des Archives secrètes du Vatican sur lesquelles il travaille depuis 2009 une lettre datée du 8 novembre 1918 et portant la signature de l’archevêque de Cologne d’alors, le cardinal Felix von Hartmann, et destinée au nonce apostolique en Allemagne, Mgr Eugenio Pacelli – le futur pape Pie XII.
Elle évoque un complot de la franc-maçonnerie en vue de détruire les monarchies et l’Eglise.
Ecrite à la main, la lettre est partiellement reproduite sur le site OnePeterFive, la reproduction complète n’ayant pas été autorisée. Mais la journaliste Maike Hickson affirme avoir eu la permission de voir la lettre dans son ensemble.
Le Dr Hesemann déclare à Inside the Vatican à propos du centième anniversaire des apparitions de Fatima :
« Egalement en 1917, la franc-maçonnerie célébrait le 200e anniversaire de la fondation de la première grande loge à Londres en 1717. L’idéologie maçonnique n’est pas uniquement fondée sur le déisme, mais également sur l’hérésie gnostique de l’auto-rédemption et des “Lumières” ; elle poursuit un objectif clairement anticatholique. Précisément en 1917, Maximilien Kolbe, l’un des plus grands saints du XXe siècle, a été témoin d’une procession maçonnique à Rome, où se déployaient des bannières portant ce slogan : “ Satan doit régner au Vatican. Le pape sera son esclave.”
Lors de la passation de pouvoir entre le Premier ministre démissionnaire Valls et le nouveau, Bernard Cazeneuve, le premier a osé une grossière allusion à l’appartenance maçonnique des deux hommes (qui ont été initiés au Grand Orient).
« Les Brigandes », un groupe de jeunes filles maniant la guitare et abordant des thèmes politiquement incorrects : il n’en fallait pas plus pour susciter l’engouement soudain de toute une mouvance, naïve et peu regardante.
Mais petit à petit un certain malaise se dessinait autour de ce groupe aux allures parfois « éthérées » : une haine farouche et aberrante envers les Jésuites, considérés comme le sommet d’un « complot illuminati » depuis leur fondation… Et plus récemment, une émission où elles s’attelaient à expliquer qu’il y avait une « bonne » franc-maçonnerie, en se basant sur l’interview d’un… franc-maçon…
Cela commençait à sentir le souffre. Et l’on apprend maintenant, par un article explosif dans le numéro de Rivarol paraissant ce jeudi, que les Brigandes sont l’émanation d’une secte ouvertement gnostique, antichrétienne, totalement illuminée, aux ordres d’un gourou délirant de 68 ans, Joël Labruyère, sous la coupe duquel une petite « communauté » vit entassée, de façon particulièrement glauque…
Quelques recherches sur internet corroborent facilement les témoignages recueillis, et l’on ne peut qu’être horrifié en repensant aux déguisements de chouannes, pour des malheureuses qui haïssent l’Eglise et méprisent les catholiques.
Ainsi dans l’ours de la revue occultiste Abraxas (sous-titrée « gnose, ésotérisme, sciences initiatiques… »), on retrouve Joël Labruyère ainsi que la meneuse des Brigandes, Marianne.
Ci-dessous le dossier accablant de Rivarol, qui a recueilli divers témoignages de rescapés de la secte.
« Quelle est cette secte qui se cache derrière les Brigandes ?
« Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le dire. C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé d’une soixantaine d’années. Il a passé 24 ans au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre J’ai frappé à la porte du Temple (Éd. Pierre Téqui, commandable ici), sous-titré « Parcours d’un franc-maçon en crise spirituelle » est le témoignage passionnant des années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir. Le processus de son retour à la foi a été long et semé d’embuches.
Pour quelle raison êtes-vous entré dans la franc-maçonnerie?
Serge Abad-Gallardo : J’avais l’âge et la situation sociale idéales pour être franc-maçon : à 33 ans, j’étais haut-fonctionnaire municipal, en tant que directeur de l’urbanisme. À cette époque, je m’étais éloigné de l’Église et ma foi était bien tiède. Un ami que je ne savais pas franc-maçon m’a proposé d’y entrer. J’étais curieux de découvrir les prétendus secrets de cette organisation.
Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ?
S.A.-G. : Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m’ont fait reconnaître des liens entre la franc-maçonnerie et l’Église. À titre d’exemple, dans le rituel d’initiation on retrouve des phrases comme : « Cherchez et vous trouverez » ou « Frappez, et l’on vous ouvrira » qui sont extraites des Évangiles. Mais, petit à petit, je me suis rendu compte que le sens que l’on donnait à ces versets n’avait plus rien à voir avec l’esprit du Nouveau Testament. J’ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m’a pas plu, mais je me suis adapté car j’étais éloigné de la foi, et surtout de l’Église. En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j’ai pris conscience que derrière cette apparence de fraternité, les petits arrangements et les luttes pour le pouvoir étaient bien réels. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j’ai compris que le catholicisme et la franc-maçonnerie étaient incompatibles.
Continuer la lecture de « Les révélations d’un ancien Grand Maître de la franc-maçonnerie »
Il y a peu, suite semble-t-il à un piratage, des milliers de documents de la Grande Loge de France (une des principales obédiences françaises de la secte maçonnique) ont été mis à disposition du public (sur ce site) : rapports du conseil fédéral, ebooks, rituels, listing d’une partie des membres, projets, calendriers, compte-rendus du conseil, etc.
Une énorme fuite de documents qui va sûrement révéler des informations que les « Frères » auraient voulu garder secrètes !
A suivre.
PS : suite à des interrogations, le Centre d’étude et d’action sur la F-M précise qu’il n’a rien à voir dans cette fuite de documents.
« Pour son colloque sur la jeunesse qui aura lieu le 2 avril au Palais Brongniard à Paris, la Grande Loge de France pourra compter sur une invitée de marque. La ministre de l’éducation nationale a fait savoir il y a déjà plusieurs mois qu’elle y participerait : « Vous pouvez compter sur mon soutien et mon parrainage pour votre colloque avec la GLFF (ndlr : grande loge féminine de France) », avait-elle déclaré le 26 septembre 2015 lors du cinquième dîner de cette obédience maçonnique. » (source La Croix)
Lors de ce dîner, Najat Vallaud-Belkacem s’était par ailleurs dite consciente de « ce que la République et l’école doivent à la franc-maçonnerie depuis deux siècles ».
Sur l’affiche officielle de cet événement, il est indiqué que celui-ci a lieu « sous le haut patronage du ministère de l’Education nationale », et son logo y figure officiellement.
La franc-maçonnerie a, rapidement après sa fondation officielle, été dénoncée par les souverains pontifes.
Notamment à travers ces textes :
Dans un ancien livre de catéchisme on pouvait lire ceci:
« Au début du XVIIIe, toutes les forces anticatholiques (déistes, matérialistes, libres penseurs) se groupèrent en une puissante association qui prit le nom de Franc-Maçonnerie. D’abord société philanthropique et politique, la Franc-Maçonnerie devint, après la fondation de la grande loge de Londres en 1717, le centre de la libre-pensée et comme l’armée de l’incrédulité.
D’Angleterre, elle se répandit en France où elle eut sa première loge à Dunkerque en 1721. Le Grand-Orient de France qui a son siège à Paris fut fondé en 1772.
Par son aspect philanthropique la Franc-Maçonnerie fut ce qu’elle est toujours: l’Ange des ténèbres déguisé en lumière. Elle séduisit ainsi de nombreuses nobles âmes, des prêtres,… Ces gens n’avaient pas discerné le but caché de la Franc-Maçonnerie.
Plus clairvoyants, les papes s’aperçurent qu’ils avaient en face d’eux les plus graves ennemis de l’Église. Elle fut condamnée assez vite par Clément XII en 1738, par Benoît XIV en 1751, par Pie VII en 1821, par Pie IX en 1865, par Léon XIII en 1884. »
Continuer la lecture de « Les rapports Église / franc-maçonnerie »
Au Portugal, la monarchie est décapitée par la Franc-maçonnerie le 1er février 1908 : le roi Charles et le prince héritier Louis-Philippe sont assassinés par l’instituteur Manuel Buiça et l’employé Alfredo Costa, tous deux maçons (et membres de la Charbonnerie).
Ils ont fait feu puis bondi sur le carrosse royal. Le roi est mort immédiatement, le prince héritier a pu répliquer de quelques coups de feu (non fatals) sur les assaillants, et la reine (comme on le voit ci-contre) a tenté de s’opposer à eux avec son bouquet de fleurs.
Dès 1910, la République est proclamée et le chef du Grand Orient du Portugal, Magalaes Lima, entre au gouvernement.
Les deux assassins ne survécurent pas à leur forfait : blessés au cours de l’attaque, ils furent tués non loin du lieu du drame par des agents de police (dont un, non identifié). Peut-être dans le but qu’ils ne révèlent rien sur les commanditaires précis ?
Continuer la lecture de « 1908 : la monarchie portugaise assassinée par la franc-maçonnerie »
Très vite, la F-M fut condamnée vigoureusement par les Souverains pontifes.
En 1738, année où fut publiée la seconde édition des Constitutions d’Anderson, le pape Clément XII (1730-1740) mit en garde pour la première fois contre cette nouvelle société secrète dans sa bulle In eminenti apostolatus specula.
Quoique prononcée comme définitive (« constitution valable à perpétuité »), cette condamnation ne fut que la première d’une longue série, puisque pendant plus de deux siècles, pratiquement tous les successeurs de Clément XII l’ont reformulée.
Voici un récapitulatif, avec extraits significatifs, des déclarations papales touchant à ce sujet.
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